
Biographie
Mathias Lair ne donne jamais sa date de naissance. Comme les calamars,
il aime se cacher dans son encre. On suppose qu’il est d’origine
hexagonale, bien que ses ancêtres viennent probablement des steppes
de l’Asie centrale… Peu importe, puisque sa biographie n’a qu’un rapport
lointain avec ses œuvres.
Graphomane, il a écrit sous divers noms des articles pour la presse et les
journaux d’entreprise, rédigé des livres pédagogiques, publié des essais
politiques et psychanalytiques. Amoureux du livre, il fut maquettiste,
imprimeur, éditeur, représentant d’un diffuseur. Aimant les auteurs, il
a présidé un syndicat d’écrivains, il est aujourd’hui administrateur de la
SGDL (Société des gens de lettres) et de l’Union des poètes & Cie.
Sous le nom de Mathias Lair, il a publié des nouvelles et textes courts :
La
femme de Kovalam & autres fictions érotiques (Gros Textes),
La chambre
morte (Lanskine),
Enfin (Gros Textes) ; des poèmes :
Accords perdus
(Gros
Textes),
Quimiac suivi de
Ici, (Encres vives),
Inzeste (Ed. Gros Textes),
Pas de mot pour (Éclats d’encre) ; des essais critiques :
Écrire sans sujet
(Passages d’encre, coll. Trait court).
On le lit souvent en revues :
Brèves,
Verso,
Triages,
Passage d’encres,
Sarrazine, etc. Depuis plusieurs années il tient dans la revue
Décharge une chronique de réflexion sur l’écriture : Il y a poésie.
Pour en savoir plus :
http://www.sgdl-auteurs.org/mathias-lair/
Vidéo de Mathias Lair